Le mot des architectes (L.Digard, G.Mascherpa, M.Pitalugue) :
Un des points fondamentaux du parti architecturale et urbain a été de privilégier l’idée d’un “parc habité” sans stationnement de surface. Ce choix fort avait pour effet de mettre en avant l’omniprésence du parc au sein duquel les bâtiments trouveront leur place de façon tranquille. La qualité de vie du piéton est au cœur de cette mise en scène.
Par ailleurs, nous nous sommes attachés à traduire dans cette opération les références de l’habitat balnéaire méditerranéen du début du siècle, celles dites “RIVIERA”, présentes à proximité du site et plus connues dans les grands palaces de la Côte d’Azur. Notre recherche s’est portée sur la création de toitures saillantes, protégeant les façades animées par une polychromie soignée et rehaussées par le dessin varié de frises et de moulurations; Au total, une réalisation qui s’imagine avec des lignes douces, douce à voir et douce à vivre.
Le mot du paysagiste (L. De Franceschi) :
“Mon ambition est de réconcilier l’homme avec la nature et ses bienfaits. Le Grand Parc de Saint-Aygulf s’inscit dans cette logique. Il bénéficie d’un environnement d’une grande qualité paysagère. La pinède originelle, constituée de chênes verts, chênes-lièges, arbousiers et pins d’Alep, est conservé afin que chacun y retrouve le calme et la sérénité que procure une promenade en sous-bois. J’ai souhaité créer un “parc à vivre” avec l’essence des jardins d’acclimatation qui ont fleuri sur la Côte d’Azur depuis le début du siècle dernier, désormais partie intégrante du paysage de Saint-Aygulf. J’ai prolongé les aires de loisirs d’un jardin provençal d’inspiration florentine, où les oliviers et les cyprès se dresseront au milieu de parterres de plantes aromatiques qui réveilleront les sens.”
Grand parc
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Une résidence qui s’inscrit dans un esprit de “parc habité”.
- Au cœur d'un site préservé
Une résidence qui fait place à la rencontre.
- Qualité de vie du piéton