Parle-nous de ta peinture.
Au départ, je peignais des ambiances hip-hop, de graffeurs. Je me suis rendu compte que ça ne me correspondait plus, j’avais envie de travailler des sujets qui parlent à un grand nombre de personnes, d’approfondir ma technique. J’ai envie de peindre « 2020 » et je m’inspire donc beaucoup des nouvelles technologies, comme le graphisme qu’il y a autour de la reconnaissance faciale. Je m’inspire également de la peinture classique, qui amène une part de réalisme dans mes peintures.
Comment composes-tu tes peintures ?
Il faut que les éléments se répondent, que ce ne soit pas trop chargé. Je compose mon tableau par zone. Si j’ai une partie vaporeuse, je vais utiliser des aplats de couleur, et je vais contraster sur une zone à côté avec des rayures par exemple. J’essaie de limiter les effets tout en gardant un dynamisme dans ma peinture. J’utilise de l’acrylique au rouleau et au pinceau et très peu de bombe. Je trouve intéressant de mélanger les techniques, les outils ; ça permet de faire évoluer. Mon identité graphique, c’est un peu les rayures que je pose sur chacune de mes toiles : ça apporte une certaine vibration.
Comment composes-tu tes peintures ?
Il faut que les éléments se répondent, que ce ne soit pas trop chargé. Je compose mon tableau par zone. Si j’ai une partie vaporeuse, je vais utiliser des aplats de couleur, et je vais contraster sur une zone à côté avec des rayures par exemple. J’essaie de limiter les effets tout en gardant un dynamisme dans ma peinture. J’utilise de l’acrylique au rouleau et au pinceau et très peu de bombe. Je trouve intéressant de mélanger les techniques, les outils ; ça permet de faire évoluer. Mon identité graphique, c’est un peu les rayures que je pose sur chacune de mes toiles : ça apporte une certaine vibration.